La lumière, l'encre et l'usure du mobilier d'Emmanuel Venet

par Françoise

Françoise nous livre cette semaine un extrait de l’abécédaire d’Emmanuel Venet qui explore le bric-à-brac de nos vies avec les lettres :

  • B comme brouillard,
  • D comme diable,
  • E comme eau
  • L comme Laure

Au fil d’une mémoire capricieuse, Emmanuel Venet explore le capharnaüm dont nos vies sont faites – chair, paroles, histoire, culture. Avec humour, l’auteur évoque son enfance lyonnaise et son éducation à l’ombre de parents pénétrés de religion catholique et de valeurs conservatrices, son parcours spirituel, ses désillusions amoureuses, ses affinités littéraires, ou encore son expérience de psychiatre.Si les vingt-six chapitres de cet abécédaire se présentent comme des nouvelles autonomes, de A comme « auberge » à Z comme « Zweig », leur suite dessine – dans une langue splendide frayant entre récit intime, réflexion, anecdotes savoureuses et poésie – un itinéraire, et un monde intérieur fait de pièces et de morceaux, de rencontres et de surprises, de lieux communs et d’événements singuliers.