« Personne ne parle de l’année de grâce. C’est interdit.
Nous aurions soi-disant le pouvoir d’attirer les hommes et de rendre les épouses folles de jalousie. Notre peau dégagerait l’essence pure de la jeune fille, de la femme en devenir. C’est pourquoi nous sommes bannies l’année de nos seize ans : notre magie doit se dissiper dans la nature afin que nous puissions
réintégrer la communauté. Pourtant, je ne me sens pas magique. Ni puissante. »

Un an d’exil en forêt. Un an d’épreuves. On ne revient pas indemne de l’année de grâce. Si on en revient. Un roman d’exception « dans la lignée de La Servante écarlate, Sa Majesté des mouches et Hunger Games. »